Du 06 au 08 Mai dernier, kasumbalesa était le champs d’enquête des membres du cadre de concertation de la société civile du Haut Katanga, dans la visée de rétablissement de responsabilité quant aux troubles récemment observé dans cette ville-portail du pays.
Le phénomène Bilanga étant à l’origine du malaise, la population s’est ligué aux partisans des partis politiques pour déshériter kasumbalesa des décisions prises par les autorités, en guise des mesures barrières pour lutter contre la pandémie de la Covid-19. Et de ce malaise jaillit un controverse entre militants de l’Udps et de l’Unafec, débouchant à une mort d’hommes en majorité membre de l’union nationale des fédéralistes du Congo et des blessés dans l’autre camps.
Il en découle donc ce constat de la société civile, sur l’absence de l’autorité de l’État Congolais sur Kasumbalesa, une ville qui dépend totalement et sur tout les plans, de la République Zambienne.
Il conviendrait donc, le souligne ce rapport de la société civile, que l’État Congolais investisse du plein pouvoir ses entreprises oeuvrant à la frontière de kasumbalesa, afin de maximiser ses recettes, qui finissent souvent dans les poches des personnalités politico-militaires, au détriment de la population de kasumbalesa; Et que s’en aille ainsi aux partis politiques du pays, de mettre sur pied des plateformes de dialogue permanent pour l’éducation civique et citoyenne, en vue de la promotion de la citoyenneté.
Par ailleurs, le cadre de concertation de la société civile haut Katanga s’engage à accompagner l’État et les autorités dans cette lourde marche , pour restaurer l’autorité de l’État dans cette partie de la RDC.
Daniel Sula
